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Affichage des articles du octobre, 2018

UN BON COUP FRAPPE TOUJOURS DEUX FOIS...

Actualité chargée s'il en est (des corps que l'on découpe, la nature qui n'arrête pas de faire des siennes, ces jeunes dont la violence nous échappe et nous dépasse...) alors laissons de côté en cette fin de semaine ces vents mauvais et laissons en souffler de plus légers, pour contrer ce froid qui revient. Discussion hier avec cet ami qui me raconte comment cette belle brune orientale rencontrée cet été, et qui fait partie désormais  de son top 3 malgré la brièveté de leur relation, a refait surface. Signe des temps elle est réapparue, il est vrai discrètement, en le débloquant sur Instagram. L'époque est ainsi. L'amour avec un petit 'a' se joue désormais sur les réseaux sociaux ! Je lui disais alors en pleine moiteur estivale : 'Ça a été intense entre vous, elle reviendra.'. Car je sais désormais par expérience pour avoir été tantôt le l'objet du désir, tantôt le prétendant, qu'un bon coup on n'y revient toujours, ou presque. Alo...

Rien ne vaut une bonne marche

05h15 Paris dort. Train à prendre d'en trois quarts d'heure à Montparnasse. Je quitte les abords du parc Montsouris. Pas très loin. Métro, Uber ou à pieds. La première option valve seulement dans quinze bonnes minutes, et trop aléatoire. Et pourquoi se rendre à près de trois kilomètres en voiture quand on a des jambes qui fonctionnent à peu près correctement. Il fait nuit. Frais mais pas trop et la ville encore mienne... Je remonte le parc en le  longeant, passe par la très peu glamour avenue René Coty, Denfert, Raspail le tout avec quelques accélérations. Et en a peine une demi-heure me voilà gare Montparnasse. En plein travaux. Départ six heures piles pour Bordeaux. Le jour, le soleil se lève que l'on avance. Hier j'ai quitté la maison un peu en froid, mais dans le respect je crois, avec maman. Je n'aime jamais cela. Mais il fallait aussi que j'expose mon point de vue.

Partir, Revenir...

Jamais bien loin... Alors pourquoi ce silence ? Juste fidèle à ce principe simple dans cette époque de bruit et de fureur: ne parler que lorsque l’on a quelque chose à dire, se taire dans le cas contraire.  Bruit et fureur, oui ! Et cette époque saturée d’images, et de mots, m’a ramené à mes doutes d’écrivain. Ces mots que j’ai tenté de tracer quasi quotidiennement pendant plus deux ans, à qui, à quoi servent-ils, s’ils sont une notification de plus dans votre fil d’actualité ? En qui résonnent-ils à l’époque des stories et selfies ? Mais pour être honnête, pour une fois, mon silence a été motivé par des considérations matérielles: je suis rentré dans le rang. Comme tout le monde. Du lundi au vendredi, voire le samedi, au bureau. Avec une soudaineté, et quelques péripéties, qu’il me faudra raconter, j’ai eu une belle opportunité, de la chance aussi comme si souvent dans ma vie... Et j’ai atterri ici à Bordeaux. Où une nouvelle vie commence. Il y aura beaucoup à dire sur les misères...

PARTIR, REVENIR...

Jamais bien loin... Alors pourquoi ce silence ? Juste fidèle à ce principe simple en cette période de bruit et de fureur: ne parler que lorsque l’on a quelque chose à dire, se taire dans le cas contraire. Bruit et fureur, oui ! Et cette époque saturée d’images, et de mots, m’a ramené à mes doutes d’écrivain. Ces mots que j’ai tenté de tracer quasi quotidiennement pendant plus deux ans, à qui, à quoi servent-ils, s’ils sont une notification de plus dans vot re fil d’actualité ? En qui résonnent-ils à l’époque des stories et selfies ? Mais pour être honnête, pour une fois, mon silence a été motivé par des considérations matérielles: je suis rentré dans le rang. Comme tout le monde. Du lundi au vendredi, voire le samedi, au bureau. Avec une soudaineté, et quelques péripéties, qu’il me faudra raconter, j’ai eu une belle opportunité, de la chance aussi comme si souvent dans ma vie... Et j’ai atterri ici à Bordeaux. Où une nouvelle vie commence. Il y aura beaucoup à dire sur les misèr...